Le show privé
Un autre dada masculin, totalement affriolant, que les hommes craignent de révéler (de peur de froisser leur partenaire sans doute), mais qui les fait jouir inévitablement : le show privé !
Imaginons qu’elle rentre à la maison, elle la dulcinée, la désirée désirable, chaude comme de la braise, et qu’elle se plante devant lui, le regard hyper sexy et qu’elle commence à ôter ses fringues, lentement, sensuellement, diaboliquement… Une épaule se dénude, un sein apparaît, l’aréole pointe et la braguette se gonfle. Elle tombe la veste, le chemiser ou le pull, puis le soutif suit le même chemin, sa poitrine nue appelle son homme, mais elle lui interdit de bouger. The show must go on !
Elle se caresse, elle est suave, coquine, presque vicieuse. Lui halète déjà, et c’est loin d’être fini. Elle commencera à onduler des hanches, soulèvera la jupe ou détachera le pantalon. Les chaussures seront balancées à ses pieds. Pour peu qu’il soit fétichiste, il sera émoustillé par ces gestes provocateurs. Elle dévoilera peu à peu le slip, le string, le brésilien, que sais-je… Il perdra presque le souffle parce qu’une femme qui se dévêt avec savoir-faire est un spectacle d’une infinie beauté !
Qu’elle se chauffe pardi, qu’elle se paluche, qu’elle caresse son sexe, ce sexe qu’il meurt d’envie de voir poindre sous le tissu, cette exquise petite fente rose, ce bouton de plaisir gonflé à bloc par le désir. Aussi, lorsqu’il apercevra ses doigts se glisser sous l’élastique, laissant entrevoir une lèvre, et la main plonger sous le slip carrément pour peloter ce sexe frémissant, les spasmes du désir se feront sentir de plus en plus intensément dans son propre boxer…
Eh oui, l’un des fantasmes les plus récurrents chez l’homme est encore celui de la coquine sexy qui lui offre un spectacle érotique bien craquant, une femme fatale qui connaît son pouvoir sexuel sur lui et qui le provoque jusqu’à ce que son érection lui fasse mal et qu’il ne lui reste plus d’autre alternative que celle de plonger entre les cuisses de cette vamp volcanique, qui n’attend plus que le coït. Exit les préliminaires ou plutôt pour une fois, c’est lui qui en goûtera les fruits, pour son plus grand bonheur ! C’est, encore une fois, un fantasme qui soustrait l’homme à l’obligation de performance, qui lui permet de jouir du plaisir sans se sentir obligé d’en donner, le rêve du fainéant peut-être bien, mais un rêve d’homme enfin comblé !